En écho, ils nous proposent également de découvrir d’autres versions musicales des mêmes textes signées William Byrd, Robert White et William Mundy. Pour aller de découverte en découverte !
Et c’est avant tout le sourire et la lumière du Salzbourgeois que les musiciens nous proposent de goûter dans ce programme très original : une sonate pour piano seul absolument solaire, une sonate pour violon et piano où la joie triomphe des inquiétudes, un flamboyant trio de l’époque des Noces, pour ne rien dire du quatuor avec piano K. 478, formation rare où le compositeur s’amuse aux frontières du concerto et de la musique de chambre… Le tout dans une progression dramaturgique digne d’un opéra !
Ce surdoué de la direction d’orchestre a décidé de quitter la Russie il y a deux ans pour prendre la tête de la NDR Radiophilharmonie de Hanovre. Ses lectures électrisantes du Capriccio espagnol de Rimski-Korsakov et de la trop méconnue Suite n°3 de Tchaïkovski sont accompagnées d’un joyau étincelant signé Tcherepnine : le prélude de La Princesse lointaine. Toute l’âme de la Russie s’y exprime !
L’album permet notamment de comparer l’art de Bach à celui de ses contemporains, sur les mêmes textes luthériens – avec ici la superbe cantate “Nun komm, der Heiden Heiland” de Telemann.
Sur un Pleyel de 1928, Alain Planès nous propose un formidable panorama de cette musique inclassable et visionnaire, souvent drôle et caustique. Marc Mauillon pour les mélodies et François Pinel pour le piano à quatre mains l’accompagnent dans cette exploration des plus belles pages du “Maître d’Arcueil”.
Schubert 200, épisode 2 : après une période de doutes et d’abattement dus à l’annonce d’une maladie qu’il sait incurable, Schubert retrouve peu à peu espoir grâce au soutien de son ami le baryton Johann Michael Vogl…
Puisant à travers les siècles, le jeune prodige de l’alto britannique met ici en regard l’âge baroque (Bach, Telemann) et la modernité (dont la rare Élégie de Britten et in manus tuas de Caroline Shaw). Un disque aussi juvénile qu’époustouflant !
Les deux ballets qu’ils gravent ici dévoilent une facette spécifique du génie de Stravinsky : celle du pastiche. Alors qu’il prend appui sur des musiques du XVIIIe siècle napolitain pour Pulcinella, c’est vers Tchaïkovski qu’il se tourne pour Le Baiser de la fée. Il parvient chaque fois à transformer l’exercice de l’hommage en une œuvre extrêmement personnelle.
Pour éclairer ce jeu de la musique ancienne sur les écarts par rapport aux normes attendues de l’harmonie, ils ont en effet gravé en première mondiale VicentinoOo, où la compositrice italienne rend spécifiquement hommage aux pièces microtonales de Nicola Vicentino et son octave divisée en 31 notes !
S’inscrivant dans une vieille tradition de musiques de plein air, Mozart porta ce genre à un exceptionnel degré d’aboutissement. De la célèbre Petite Musique de nuit à la sérénade Posthorn en passant par la majestueuse Haffner avec Isabelle Faust en guest star, c’est tout un monde musical qu’ils font ici revivre pour nous.
Entre musique populaire et savante, folklorique et de cour, les Curious Bards nous font ici entendre l’univers si bigarré et haut en couleur de la mélodie et de la danse scandinaves.
En écho, ils tendent à ces pages populaires un miroir subtil avec d’autres œuvres partageant les mêmes gestes musicaux et tonalités, ainsi qu’aux rares danses de Lambranzi, source d’inspiration évidente bien que souvent négligée.
En écho, ils nous proposent également de découvrir d’autres versions musicales des mêmes textes signées William Byrd, Robert White et William Mundy. Pour aller de découverte en découverte !
Et c’est avant tout le sourire et la lumière du Salzbourgeois que les musiciens nous proposent de goûter dans ce programme très original : une sonate pour piano seul absolument solaire, une sonate pour violon et piano où la joie triomphe des inquiétudes, un flamboyant trio de l’époque des Noces, pour ne rien dire du quatuor avec piano K. 478, formation rare où le compositeur s’amuse aux frontières du concerto et de la musique de chambre… Le tout dans une progression dramaturgique digne d’un opéra !
Ce surdoué de la direction d’orchestre a décidé de quitter la Russie il y a deux ans pour prendre la tête de la NDR Radiophilharmonie de Hanovre. Ses lectures électrisantes du Capriccio espagnol de Rimski-Korsakov et de la trop méconnue Suite n°3 de Tchaïkovski sont accompagnées d’un joyau étincelant signé Tcherepnine : le prélude de La Princesse lointaine. Toute l’âme de la Russie s’y exprime !
L’album permet notamment de comparer l’art de Bach à celui de ses contemporains, sur les mêmes textes luthériens – avec ici la superbe cantate “Nun komm, der Heiden Heiland” de Telemann.
Sur un Pleyel de 1928, Alain Planès nous propose un formidable panorama de cette musique inclassable et visionnaire, souvent drôle et caustique. Marc Mauillon pour les mélodies et François Pinel pour le piano à quatre mains l’accompagnent dans cette exploration des plus belles pages du “Maître d’Arcueil”.
Schubert 200, épisode 2 : après une période de doutes et d’abattement dus à l’annonce d’une maladie qu’il sait incurable, Schubert retrouve peu à peu espoir grâce au soutien de son ami le baryton Johann Michael Vogl…
Puisant à travers les siècles, le jeune prodige de l’alto britannique met ici en regard l’âge baroque (Bach, Telemann) et la modernité (dont la rare Élégie de Britten et in manus tuas de Caroline Shaw). Un disque aussi juvénile qu’époustouflant !
Les deux ballets qu’ils gravent ici dévoilent une facette spécifique du génie de Stravinsky : celle du pastiche. Alors qu’il prend appui sur des musiques du XVIIIe siècle napolitain pour Pulcinella, c’est vers Tchaïkovski qu’il se tourne pour Le Baiser de la fée. Il parvient chaque fois à transformer l’exercice de l’hommage en une œuvre extrêmement personnelle.
Pour éclairer ce jeu de la musique ancienne sur les écarts par rapport aux normes attendues de l’harmonie, ils ont en effet gravé en première mondiale VicentinoOo, où la compositrice italienne rend spécifiquement hommage aux pièces microtonales de Nicola Vicentino et son octave divisée en 31 notes !
S’inscrivant dans une vieille tradition de musiques de plein air, Mozart porta ce genre à un exceptionnel degré d’aboutissement. De la célèbre Petite Musique de nuit à la sérénade Posthorn en passant par la majestueuse Haffner avec Isabelle Faust en guest star, c’est tout un monde musical qu’ils font ici revivre pour nous.
Entre musique populaire et savante, folklorique et de cour, les Curious Bards nous font ici entendre l’univers si bigarré et haut en couleur de la mélodie et de la danse scandinaves.
En écho, ils tendent à ces pages populaires un miroir subtil avec d’autres œuvres partageant les mêmes gestes musicaux et tonalités, ainsi qu’aux rares danses de Lambranzi, source d’inspiration évidente bien que souvent négligée.
En écho, ils nous proposent également de découvrir d’autres versions musicales des mêmes textes signées William Byrd, Robert White et William Mundy. Pour aller de découverte en découverte !
Avec Apprendre en Musique, les enfants sont au cœur du projet : ils écrivent, composent, et interprètent leurs chansons pour mieux comprendre les règles du français. C’est en coopérant avec énergie et enthousiasme qu’ils donnent vie à La grammaire en chantant, un voyage musical où apprendre devient un jeu d’enfant !
Une coproduction Actes Sud / Harmonia mundi
L’occasion de se pencher sur une discographie harmonia mundi remplie de pépites : celles-ci ont été glanées tantôt hors des sentiers battus (grâce à des artistes tels que Béatrice Rana, Bernarda Fink ou Christiane Karg), tantôt sous la lumière des projecteurs avec Alexandre Tharaud, Les Siècles ou l’Orchestre de Paris. La multitude des événements musicaux qui lui sont consacrés cette année parviendront-ils à complètement dissiper le mystère Ravel ? Probablement pas : il n’est pas impossible que cette gageure (chère à Jankélévitch) fasse précisément partie de ce que le compositeur d’un certain Bolero a de plus séduisant. Plus on cherche à cerner Ravel, plus il est irrésistible. Découvrez notre play-list en attendant trois belles nouveautés dédiées aux multiples facettes de son œuvre, à paraître cette année : Ma mère l’Oye sous les doigts de Pavel Kolesnikov & Samson Tsoy en juin, le bel hommage du Quatuor Debussy en compagnie du vibraphoniste Franck Tortiller en juillet, et une plongée pianistique en eaux profondes pour cet automne avec Julien Libeer.
« Il passe pour un merveilleux indifférent, pour un magicien des sons qui ne fait ses tours que pour étonner un public ravi : or, cet illusionniste est le plus sensible et le plus émouvant des musiciens. »
Tristan Klingsor
Pour suivre au plus près l’activité du label et de ses artistes
Julien Libeer n’est pas (qu’)un solitaire : il aime à s’entourer de partenaires en quête d’absolu, tels Pierre Colombet (premier violon du Quatuor Ébène), Máté Szűcs (alto) et Eckart Runge (violoncelle), afin de se plonger dans Mozart à 4 (Quatuor avec piano) à 3 (trio), à 2 (sonate pour violon et piano) et un peu tout seul quand même !
Quelques mois plus tard, il explorera les monuments pianistiques de Ravel, sans oublier quelques chefs-d’œuvre supplémentaires de sa musique de chambre. Dans tous les cas, dialogue reste le maître mot….
Harmonia mundi a développé depuis quelques années un partenariat étroit avec le Musée de la Musique installé à la Philharmonie de Paris. La collection Stradivari invite les plus grands interprètes à venir jouer sur des instruments précieux ; ils font l’objet des soins amoureux de leurs conservateurs et chaque volume est conçu comme une rencontre entre l’un d’entre eux, le répertoire qui lui sied et le ou les musiciens. Cette collaboration a déjà porté des fruits incomparables, comme on pourra en juger ici ou directement sur le site de la Philharmonie de Paris.
Pas moins de 25 nouveautés et de nombreux remasterings sont annoncés au format Dolby ATMOS sur le label en 2025. Retrouvez la liste complète des parutions sous ce format dans nos Thématiques.
Les succès de Raphaël Pichon dans ce répertoire sont phénoménaux, depuis une certaine Köthener Trauermusik (meilleur album 2015 aux Victoires de la Musique classique) jusqu’à la Passion selon saint Matthieu (meilleur album 2023 aux mêmes Victoires…) , en passant par une version des Motets devenue référence. Alors que Pygmalion s’apprête à interpréter la Passion selon saint Jean à Notre-Dame de Paris, le 8 avril, voici venu le temps de la Messe en si mineur, album illustré par une nouvelle fulgurance signée Fabienne Verdier (ci-dessus). Une performance musicale très attendue comme toujours, qui a déjà fait beaucoup parler d’elle en concert en 2024.
La mezzo-soprano a remporté ce précieux trophée sept ans après un premier album en récital, Perpetual Night. Associé à une tessiture impressionnante et à une sincérité artistique sans équivalent, son timbre unique au monde lui a permis d’explorer une multitude de répertoires en compagnie de partenaires tels que Sébastien Daucé, Raphaël Pichon, Anne de Fornel, Geoffroy Jourdain et beaucoup d’autres.
Théotime Langlois de Swarte est parti aux États-Unis avec l’orchestre des Arts Florissants pour une longue tournée de 22 dates. Avec près de 4 millions de streams en quelques semaines, l’album s’est hissé dans les meilleures ventes digitales et sera disponible en vinyle le 16 mai. L’interprétation toute en finesse des Quattro stagioni fera également l’objet d’une émission spéciale sur Arte le 21 juin.
« Du point de vue émotionnel et esthétique, les deux œuvres sont diamétralement opposées ; mais, dans les deux, les effets complexes et les sonorités luxuriantes sont sacrifiés au profit de l’essentiel. Si, du fait de la compression dans les limites d’un unique piano, le Sacre du printemps semble bien trop pour un seul instrument, Ma mère l’Oye semble bien trop peu. Il n’y a pas assez de notes pour les vingt doigts des pianistes ! (…) La concentration de magie musicale dans ces deux œuvres a fait pour nous de l’enregistrement de cet album une aventure extraordinaire, enivrante. » Pavel Kolesnikov & Samson Tsoy
C’est la première fois que seront réunies l’intégralité des mélodies de Georges Bizet, un genre qui suivit le père de Carmen depuis la prime jeunesse jusqu’à sa disparition précoce en 1875. La formidable équipe réunie ici nous permettra de découvrir autour de pianos historiques un pan méconnu de sa musique vocale, incluant de nombreuses raretés, oeuvres de jeunesse, versions alternatives et autres pages inédites.
Marianne Croux, Coline Dutilleul, Cyrille Dubois, Guilhem Worms
Aux claviers : Luca Montebugnoli et Edoardo Torbianelli
Les nouveautés harmonia mundi du premier semestre
Les six premiers mois de 2025 seront riches en défis de toutes sortes : un an après le succès des « Concerti per una vita », Théotime Langlois de Swarte se mesure aux Quatre Saisons de Vivaldi, dans une approche toute en subtilité (janvier)… À l’autre extrémité du printemps, célébrez-en le Sacre en compagnie de deux pianistes de haut vol : Pavel Kolesnikov et Samson Tsoy (juin). Entretemps, Sébastien Daucé jouera les explorateurs du grand nord avec un programme dédié à la musique suédoise du XVIIe siècle, tandis que the Curious Bards chantent et dansent la Scandinavie ! Sans oublier une interprétation toujours très attendue de la Messe en si mineur de Bach par Raphaël Pichon. Nous célébrerons également ERIK SATIE avec Alain Planès, MAURICE RAVEL et GEORGES BIZET et souhaiterons la bienvenue à de nouveaux artistes en exclusivité : le Münchener Kammerorchester sous la direction d’Enrico Onofri, Stanislav Kochanovsky à la tête de l’Orchestre Philharmonique de la NDR (Hanovre) et Paul-Antoine Benos-Djian, contre-ténor d’exception.
Julien Libeer n’est pas (qu’)un solitaire : il aime à s’entourer de partenaires en quête d’absolu, tels Pierre Colombet (premier violon du Quatuor Ébène), Máté Szűcs (alto) et Eckart Runge (violoncelle), afin de se plonger dans Mozart à 4 (Quatuor avec piano) à 3 (trio), à 2 (sonate pour violon et piano) et un peu tout seul quand même !
Quelques mois plus tard, il explorera les monuments pianistiques de Ravel, sans oublier quelques chefs-d’œuvre supplémentaires de sa musique de chambre. Dans tous les cas, dialogue reste le maître mot….
Harmonia mundi a développé depuis quelques années un partenariat étroit avec le Musée de la Musique installé à la Philharmonie de Paris. La collection Stradivari invite les plus grands interprètes à venir jouer sur des instruments précieux ; ils font l’objet des soins amoureux de leurs conservateurs et chaque volume est conçu comme une rencontre entre l’un d’entre eux, le répertoire qui lui sied et le ou les musiciens. Cette collaboration a déjà porté des fruits incomparables, comme on pourra en juger ici ou directement sur le site de la Philharmonie de Paris.
Pas moins de 25 nouveautés et de nombreux remasterings sont annoncés au format Dolby ATMOS sur le label en 2025. Retrouvez la liste complète des parutions sous ce format dans nos Thématiques.
Les succès de Raphaël Pichon dans ce répertoire sont phénoménaux, depuis une certaine Köthener Trauermusik (meilleur album 2015 aux Victoires de la Musique classique) jusqu’à la Passion selon saint Matthieu (meilleur album 2023 aux mêmes Victoires…) , en passant par une version des Motets devenue référence. Alors que Pygmalion s’apprête à interpréter la Passion selon saint Jean à Notre-Dame de Paris, le 8 avril, voici venu le temps de la Messe en si mineur, album illustré par une nouvelle fulgurance signée Fabienne Verdier (ci-dessus). Une performance musicale très attendue comme toujours, qui a déjà fait beaucoup parler d’elle en concert en 2024.
La mezzo-soprano a remporté ce précieux trophée sept ans après un premier album en récital, Perpetual Night. Associé à une tessiture impressionnante et à une sincérité artistique sans équivalent, son timbre unique au monde lui a permis d’explorer une multitude de répertoires en compagnie de partenaires tels que Sébastien Daucé, Raphaël Pichon, Anne de Fornel, Geoffroy Jourdain et beaucoup d’autres.
Théotime Langlois de Swarte est parti aux États-Unis avec l’orchestre des Arts Florissants pour une longue tournée de 22 dates. Avec près de 4 millions de streams en quelques semaines, l’album s’est hissé dans les meilleures ventes digitales et sera disponible en vinyle le 16 mai. L’interprétation toute en finesse des Quattro stagioni fera également l’objet d’une émission spéciale sur Arte le 21 juin.
« Du point de vue émotionnel et esthétique, les deux œuvres sont diamétralement opposées ; mais, dans les deux, les effets complexes et les sonorités luxuriantes sont sacrifiés au profit de l’essentiel. Si, du fait de la compression dans les limites d’un unique piano, le Sacre du printemps semble bien trop pour un seul instrument, Ma mère l’Oye semble bien trop peu. Il n’y a pas assez de notes pour les vingt doigts des pianistes ! (…) La concentration de magie musicale dans ces deux œuvres a fait pour nous de l’enregistrement de cet album une aventure extraordinaire, enivrante. » Pavel Kolesnikov & Samson Tsoy
C’est la première fois que seront réunies l’intégralité des mélodies de Georges Bizet, un genre qui suivit le père de Carmen depuis la prime jeunesse jusqu’à sa disparition précoce en 1875. La formidable équipe réunie ici nous permettra de découvrir autour de pianos historiques un pan méconnu de sa musique vocale, incluant de nombreuses raretés, oeuvres de jeunesse, versions alternatives et autres pages inédites.
Marianne Croux, Coline Dutilleul, Cyrille Dubois, Guilhem Worms
Aux claviers : Luca Montebugnoli et Edoardo Torbianelli
Les nouveautés harmonia mundi du premier semestre
Les six premiers mois de 2025 seront riches en défis de toutes sortes : un an après le succès des « Concerti per una vita », Théotime Langlois de Swarte se mesure aux Quatre Saisons de Vivaldi, dans une approche toute en subtilité (janvier)… À l’autre extrémité du printemps, célébrez-en le Sacre en compagnie de deux pianistes de haut vol : Pavel Kolesnikov et Samson Tsoy (juin). Entretemps, Sébastien Daucé jouera les explorateurs du grand nord avec un programme dédié à la musique suédoise du XVIIe siècle, tandis que the Curious Bards chantent et dansent la Scandinavie ! Sans oublier une interprétation toujours très attendue de la Messe en si mineur de Bach par Raphaël Pichon. Nous célébrerons également ERIK SATIE avec Alain Planès, MAURICE RAVEL et GEORGES BIZET et souhaiterons la bienvenue à de nouveaux artistes en exclusivité : le Münchener Kammerorchester sous la direction d’Enrico Onofri, Stanislav Kochanovsky à la tête de l’Orchestre Philharmonique de la NDR (Hanovre) et Paul-Antoine Benos-Djian, contre-ténor d’exception.
Julien Libeer n’est pas (qu’)un solitaire : il aime à s’entourer de partenaires en quête d’absolu, tels Pierre Colombet (premier violon du Quatuor Ébène), Máté Szűcs (alto) et Eckart Runge (violoncelle), afin de se plonger dans Mozart à 4 (Quatuor avec piano) à 3 (trio), à 2 (sonate pour violon et piano) et un peu tout seul quand même !
Quelques mois plus tard, il explorera les monuments pianistiques de Ravel, sans oublier quelques chefs-d’œuvre supplémentaires de sa musique de chambre. Dans tous les cas, dialogue reste le maître mot….
Harmonia mundi a développé depuis quelques années un partenariat étroit avec le Musée de la Musique installé à la Philharmonie de Paris. La collection Stradivari invite les plus grands interprètes à venir jouer sur des instruments précieux ; ils font l’objet des soins amoureux de leurs conservateurs et chaque volume est conçu comme une rencontre entre l’un d’entre eux, le répertoire qui lui sied et le ou les musiciens. Cette collaboration a déjà porté des fruits incomparables, comme on pourra en juger ici ou directement sur le site de la Philharmonie de Paris.
Pas moins de 25 nouveautés et de nombreux remasterings sont annoncés au format Dolby ATMOS sur le label en 2025. Retrouvez la liste complète des parutions sous ce format dans nos Thématiques.
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À 65 ans, le label cultive une insolente jeunesse. Explorer de nouveaux répertoires, élargir notre horizon, développer les jeunes talents et poursuivre notre quête d’excellence sans cesse : telle est la devise d’harmonia mundi. Nous sommes exigeants, passionnés et fiers de notre indépendance. Voici notre histoire…
